Séance d’hier. Je pleure, parlant d’Agnès.
(Évoqué ma peur de ne pas pouvoir la protéger, mon chagrin a n’être pas sûr qu’elle soit heureuse).
G. : « Vous projetez sur elle le désarroi où vous étiez devant ce que vous pensiez être l’impuissance de votre père. » (→ Me fait penser à son impuissance au moment mort de Nini).
– Note écrite à 39 ans