Je suis là, chez moi (beau soleil, heureusement) en train de numériser mes notes « idées » et « écriture » en vue de leur exploitation pour une création littéraire ultérieure et, pendant ce temps, se prépare chez Fayard le refus des « Deux femmes »… Et je n’y suis absolument pas préparé, malgré tous mes efforts, car il reste en moi un noyau d’espoir, irréductible, indestructible… Bien malgré moi !
Donc, ce que je fais (qui prend beaucoup de temps !) est très probablement inutile.
Cette pensée me mine.
Heureusement, je numérise aussi – pieusement – les notes sur Agnès…
Je me dis qu’une part de ce que je fais au moins, n’est pas inutile. Et même, au contraire, peut être très utile (*)
Cela me fait du bien
(*: utile à Agnès…)
– Note écrite à 68 ans