D’ores et déjà la psychologie de la forme est une psychologie de synthèse (Cf. l’anarchie de la méthode analytique en Allemagne au début du XXe qui donne la Gestalt Théorie)
– Note écrite à 16 ans
D’ores et déjà la psychologie de la forme est une psychologie de synthèse (Cf. l’anarchie de la méthode analytique en Allemagne au début du XXe qui donne la Gestalt Théorie)
– Note écrite à 16 ans
« Elle ne fait pas de l’intelligence un domaine séparé ; elle rejette toute distinction des fonctions sensitives et des fonctions intellectuelles parce qu’elle rejette le dualisme de la matière et de la forme. L’intelligence n’est pas créatrice d’un ordre étranger à la nature de ses éléments ; elle n’est que l’expression de l’organisation spontanée et manifeste d’un tout en vertu de ses lois internes. »(Pierre Guillaume – « Psychologie de la forme »)
– Note écrite à 16 ans
Référence au montage d’Eisenstein : Fechner se demandait si la vue d’un sourire humain qui précéderait régulièrement de mauvais traitements, celle d’un visage sévère qui précéderait des caresses, pourrait prendre aux yeux d’un enfant des significations contraires à celles que ces expressions possèdent dans la vie ordinaire. » (Psychologie de la forme)
– Note écrite à 16 ans
Cf. Rousseau (distinction contre la sensibilité et l’intelligence)
« Le côté mental ou central de l’expression obéit au même dynamisme que son côté périphérique ; on peut décrire dans la pensée de l’homme ému les mêmes pulsations que dans ses réactions musculaires ; les « mouvements » secrets de l’âme et les mouvements manifestes ou cachés du corps sont l’image les uns des autres ; il est souvent impossible, parmi les termes qui s’appliquent à l’émotion, de séparer ce qui désignerait exclusivement soit le symptôme objectif soit l’impression subjective ; le même terme a généralement la double valeur, non seulement parce que les deux faits sont contigus mais parce qu’ils sont semblables. » (Psychologie de la forme)
– Note écrite à 16 ans
(Psychologie de la forme – Le moi et l’action) « L’aspect de l’objet (ou même parfois son existence subjective) dépend du besoin du sujet; inversement le besoin du sujet dépend de l’aspect de l’objet. Cette interdépendance exclut le déterminisme de type machine, mais elle est compatible avec les modèles de déterminisme que nous avons trouvé dans les formes physiques. »
– Note écrite à 16 ans