« Ce n’est que du point de vue d’une nouvelle conscience que peuvent être désormais envisagés les problèmes de l’architecture et de l’urbanisme. » (Ouverture du cinquième congrès CIAM de Paris 1937)
– Note écrite à 16 ans
« Ce n’est que du point de vue d’une nouvelle conscience que peuvent être désormais envisagés les problèmes de l’architecture et de l’urbanisme. » (Ouverture du cinquième congrès CIAM de Paris 1937)
– Note écrite à 16 ans
« Crife de confiance… »
– Note écrite à 19 ans
Je ne peux pas mourir. Car si je mourais, ma conscience du monde s’éteindrait et le monde avec elle. Je dois donc nécessairement, même mort, vivre dans les conscience qui restent.
Le monde a besoin d’une conscience qui le regarde.
D’où il résulte que la conscience embrasse la totalité de l’univers. Car la moindre portion d’univers hors de portée de la conscience ne peut pas être…
– Note écrite à 19 ans
Commentaire du 26 septembre 2015 :
Sous sa mégalomanie et son sophisme apparents, cette note n’est pas si fantaisiste : la conscience humaine produite par le cosmos n’est-elle pas un « miroir » dans lequel il se « réfléchit » et dans lequel il a « besoin » de se réfléchir ? On peut penser que tout ce qui est produit par l’univers a sa nécessité puisque cela existe ! Il en va pour la conscience humaine comme pour la plus petite météorite.
– Commentaire écrit à 68 ans
Elle n’a jamais accepté Agnès, l’hostilité d’Agnès elle n’a non seulement jamais, pas une fois, cherché à la faire disparaître (impossible pour elle, hors de question de se faire aimer) mais même ça l’a bloquée dans sa susceptibilité (non seulement il faut que j’encaisse cette enfant du passé, mais en plus, elle ne m’aime pas !)(ou n’aime pas ma fille ce qui est pareil).
Et quand, plus tard, Agnès a fait des efforts, pour moi, elle n’en a pas vraiment tenu compte. C’est vrai que ce ne sont que des efforts, et qu’au fond Agnès n’a jamais aimé Krystelle (ce qui se comprend malheureusement trop bien.)
Colette toute seule, Agnès aurait peut-être pu l’aimer (elle l’a appelée » Maman » ce qu’elle a relevé sans émotion.)(D’ailleurs elle l’a dit elle même : » Il aurait fallu qu’il n’y ait qu’un des 2 enfants… « )
Cette situation était impossible. J’ai cédé, lâchement, en gommant Agnès autant que possible, pauvre fou…
Mais au delà d’un certain point, ce n’était plus possible. Combien de fois ai-je donné tort à Agnès par rapport à l’autre ?
Et quand j’ai crié après Krystelle pour le couvercle de la boite à fromage (dérisoire détail), elle l’a appelée à elle dans la salle de bains. Reconstruction de la barrière que je m’efforçais de détruire en criant pareil après l’une qu’après l’autre. D’où : une nouvelle fois : démarche pour la récupérer . Colère. Violence et les larmes d’Agnès qu’elles n’a pas voulu voir.
Je lui en veux de cela.
On ne peut pas supporter une dépersonnalisation. On ne peut pas nier ses propres valeurs
– Note écrite à 33 ans