« Le producteur doit exposer des capitaux considérables pour rémunérer les coauteurs, les techniciens, le réalisateur, les interprètes. Avant même que la première recette ait été perçue, il doit encore payer la location des studios, les décors, le matériel, les laboratoires, effectuer une publicité coûteuse » (« Droit du cinéma » J. Raynal)
– Note écrite à 16 ans
« Les producteurs mettent l’accent sur les risques exceptionnels de leurs entreprises, sur l’échelonnement des rentrées de fonds pendant de longues années et sur le faible pourcentage des recettes qui leur revient finalement après règlement de tous les autres droits ; ils souhaitent en conséquence la réduction de la fiscalité, le maintien à leur profit de l’aide financière de l’État et de la protection accordée au film français contre la concurrence étrangère. » (« Droit du cinéma » J. Raynal)
– Note écrite à 16 ans
(Mode de calcul de la subvention) « Le chiffre de la subvention est calculé en fonction des recettes produites par un ou plusieurs film réalisé antérieurement par le même producteur »
(« Droit du cinéma »)
– Note écrite à 16 ans
Serviettes de bain : images de billets de banque
– Note écrite à 19 ans
La cuisinière dans un restaurant : une ménagère cordon bleu obligée de travailler pour gagner de l’argent. Elle cuisine les plats amoureusement, comme si c’était pour sa famille, et on vient les lui arracher
– Note écrite à 19 ans
Ce qui n’est pas rentable n’est pas…
– Note écrite à 19 ans.
Mes carnets personnels depuis 1963