Pendant le week-end Agnès a reparlé de sa haine des murs en briques rouges (elle y est revenue plusieurs fois, elle l’évoque avec insistance) me disant qu’elle n’en saurait sûrement jamais l’origine…
Moi, je repense à ceux du Pré-Saint-Gervais (elle aussi s’en souvient bien) et je me dis qu’elle y a sûrement été – mais « sans le savoir » – malheureuse…
Ah, si l’on pouvait revenir en arrière… !
Qu’est-ce que je ferais, en ce cas-là ? Je resterai avec Jocelyne, pour Agnès ? Pour qu’elle ne souffre pas de ce divorce ? Peut-être… !
J’aurais pu – c’est vrai – comme me l’a d’ailleurs dit Jocelyne elle-même – rester avec Jocelyne et avoir des aventures (je l’ai fait d’ailleurs…) Alors pourquoi l’avoir quittée… ?
Pour vivre quelque chose dans le genre Colette sûrement, ce que je me suis d’ailleurs empressé de faire… !
Quel gâchis !
Est-ce une chance, ma relation avec Mathilde ou bien quelque chose de « mérité », de logique, disons, au fil d’une évolution de ma part… ! ?
– Note écrite à 40 ans