Pensé un truc à propos des douleurs d’Agnès et de cette cœlioscopie qui nous a spécialement liés tous les deux (cf. le réveil où elle m’appelait en pleurant).
Je me suis demandé s’il n’y avait pas là, mis en actes, un écho de ma nouvelle (de mon projet) des trois garçons qui décident de se suicider si redoublement. Or, pour Agnès : il y avait menace de redoublement…
De là à penser à une « identification à un personnage du père »… (Cela me fait penser à une intervention de G. me faisant remarquer que j’entrais dans le jeu imaginaire de Lucile (tout en la faisant entrer dans le mien, puisqu’elle portait le même prénom qu’un de mes personnages).
À noter aussi, d’ailleurs, qu’Agnès n’est sûrement pas sans se rappeler qu’Agnès est le prénom d’un personnage de « David Copperfield »… (qui meurt… ? non, Agnès, c’est la survivante. C’est l’autre épouse qui meurt, celle d’avant).
– Note écrite à 41 ans