« Cette lucidité (…) presque surhumaine tant elle comprend les aspects contradictoires contenus dans toute réalité fait d’« Hiroshima mon amour » un film dialectique. » (Michèle Firk)
– Note écrite à 16 ans
« Cette lucidité (…) presque surhumaine tant elle comprend les aspects contradictoires contenus dans toute réalité fait d’« Hiroshima mon amour » un film dialectique. » (Michèle Firk)
– Note écrite à 16 ans