Reprendre la nouvelle du facteur qui ouvre la lettre sans adresse. Il trouve un message adressé « À L’INTENTION DE L’ EMPLOYÉ DES POSTES ». C’est un souhait de bonne et heureuse année. Après avoir reçu la carte, il avait invité un miséreux et lui avait offert à manger pour la nuit du Nouvel an, quoique n’étant pas bien riche. Cette année-là, il devient riche. Le Nouvel an suivant : même carte. Il est content. Tout à sa joie et à sa richesse (présente et à venir), il en oublie la charité → Il en sera puni. Le miséreux le regarde passer. Il meurt dans l’année.
Mise en forme :
Le premier épisode (ouverture de l’enveloppe) est raconté par le facteur à sa femme alors qu’il rentre du travail. Le festin se prépare. C’est là que le miséreux se présente et est accueilli par le facteur, tout heureux qu’une chaleur humaine s’établisse. (Référence : le Juif errant). Lorsque le miséreux se présente, l’année suivante, c’est par un maître d’hôtel qu’il est reçu et mis à la porte… Dans l’ombre d’une porte cochère, il regardera passer l’ancien facteur devenu industriel, dans sa calèche, qui va dans un cabaret finir le réveillon…
– Note écrite à 19 ans