J’ai remarqué aux 24 heures du Mans la présence, au milieu de ce carrousel si vivant, si présent, d’un « musée » constitué par la projection en plein air de films en couleurs…
Plusieurs éléments sont à noter :
− Le phénomène de fascination fondamentale par l’image, tout d’abord. Il convient de noter qu’une majorité de personnes s’en allaient (dont moi) en refusant de s’intéresser à ces images (par peur d’être absorbés).
− Le rapport voitures réelles (sur la piste) et voitures fictives (de vieux tacots), sur l’écran.
− Le plein air
− La couleur
− Le fait que le cinéma tient lieu de « musée » (le plus important)
à étudier
– Note écrite à 19 ans