« Les fleurs de Tarbes » – Paulhan : la terreur ou la non-coïncidence entre le signe et la chose. Elle provient du fait que le mot exprime toujours à l’origine la réalité profonde d’une chose, mais le critique (le public) ne sait plus retrouver cette identité. Le mot finit par vivre d’une vie autonome, bien qu’on cherche tout le temps à le faire signifier le plus intensément possible. (*) Quête peu fructueuse. Paulhan = retour à l’identité originelle signe-objet – classicisme
(*: peut-être à cause de cela justement. Mais on ne peut pas s’abandonner à l’autonomie des signes non plus (Surréalistes → échec).
– Note écrite à 19 ans