Tu sais : j’en suis arrivé à l’état d’esprit de Roland. À l’instant j’ai cherché ton visage et pendant quelques secondes je ne l’ai pas trouvé. Je t’aime avec indifférence et j’attends ce « moment » dont Roland a parlé, où je t’aimerai entièrement. Je t’aime encore mais d’une façon différente. Je crois que j’ai moins envie de toi.
– Note écrite à 16 ans