Revue publiant travaux littéraires de jeunes : « Gaudeamus » 53 allée Gambetta Le Raincy (Seine et Oise)
– Note écrite à 16 ans
Projets Littéraires
Revue publiant travaux littéraires de jeunes : « Gaudeamus » 53 allée Gambetta Le Raincy (Seine et Oise)
– Note écrite à 16 ans
« J’ai tant souffert, maîtresse. »
– Note écrite à 17 ans
Le gai tumulte de la rue… (2017 : from Internet : pas fait) (inclus dans Manuscrit « L’homme que les plantes aimaient »)
– Note écrite à 19 ans
Science Fiction : idée d’un monde où les éléments se transforment ( Exemple : un tapis roulant qui prend la forme d’un escalier… ) Objets faits d’une matière synthétique, tissu vivant ?
– Note écrite à 19 ans
Me mettre à travailler sur le toit de l’aérodrome…
– Note écrite à 19 ans
Il y a là un oiseau mort
tourne ta tête… (← poème avec progression jusqu’à une vision où on ne peut plus tourner la tête : on se révolte.)
– Note écrite à 19 ans
Décès 6
– Note écrite à 19 ans
L’avion qui passe entre les immeubles, sur une esplanade d’un grand ensemble, et s’envole.
– Note écrite à 19 ans
Réunis pour un temps, nous vivons maintenant nos destins séparés…
– Note écrite à 19 ans
Mots qui finissent en « isme »
… héroïsme…
… nationalisme…
… patriotisme…
– Note écrite à 19 ans
Histoire d’un type qui veut se suicider et qui, avant, fait le tour de tous les gens qu’il connaît pour en tirer quelque chose et n’en obtient que des réponses mitigées… (mais je m’aperçois que c’est le « Feu follet »)
– Note écrite à 19 ans
Un type pour se réveiller : son petit réveille-matin, au chevet de son lit, est relié aux cloches d’une cathédrale en face de chez lui… Elles sonnent l’Angélus du matin. Ça réveille tout le quartier, alors il se lève, s’habille. Il a l’impression, en accomplissant les gestes du matin, en enfilant son pantalon, d’être à la fois tous les hommes de la ville entière ( Je retrouve le coq de Chantecler ? ) L’idée devient trop forte à partir de l’habillage, conserver le côté hénaurme, canularesque )
– Note écrite à 19 ans
Gorneille
– Note écrite à 19 ans
Dans les bruyères
il y a par terre
un oiseau mort
Tourne la tête…
– Note écrite à 19 ans
Le satyre « Un coup »
– Note écrite à 19 ans
Ecrire une « ode à l’homme futur » parler de l’émancipation de la femme, de la disparition de la protection masculine. Insister sur la nécessité d’avoir confiance…
– Note écrite à 19 ans
Un type achète un gadget qui n’a absolument aucune fonction. Lui ou un gosse en cherche une à tout prix ( croyance au « secret » : ils cherchent à en tirer quelque chose d’autre).
– Note écrite à 19 ans
Reprendre l’idée de l’homme mutant qu’on découvre peu à peu ( sur une autre planète ) Utiliser un vocabulaire et des tournures science-fiction qui habituellement s’appliquent à des animaux ou à des monstres ( « son pas massif ébranlait le sol, etc… » ) Bonne idée, je crois, à voir.
– Note écrite à 19 ans
Œil bleu, ciel bleu
– Note écrite à 19 ans
Suite de superlatifs : « Bien plus belles, bien plus bleues, bien plus rondes, bien plus …, etc… » pendant une page et, à la fin : « Bien plus douces que quoi ? » – J’ai oublié… Ex : les femmes )
– Note écrite à 19 ans
Marie-Laurence : joli prénom
– Note écrite à 19 ans
La femme, parler de la femme, éternelle muette, subordonnée
– Note écrite à 19 ans
« Bruit de tonnerre de ton sac (à main ?) que tu fermes… »
– Note écrite à 19 ans
Il faut que je ne perde pas l’habitude de noter mes idées : ce matin, pensé à un texte satirique : le monsieur à qui les gens qui cherchent à se loger demandent conseil parce que ça fait 10 ans qu’il cherche un appartement et qu’il a « l’expérience »…
– Note écrite à 19 ans
Commentaire du 25 juin 2018 :
Ne retrouve-t-on pas cette même idée dans « Le procès » de Kafka avec ce personnage qui a « l’expérience » des procès ?!!!
– Commentaire écrit à 71 ans
Mercredi dernier, j’étais faible, hésitant, soucieux, malheureux, j’ai pris une décision et choisi un chemin dans lequel désormais mes efforts et mon application consisteront à me tenir… (littérature ?)
– Note écrite à 19 ans
Inconscience bienheureuse ?
– Note écrite à 19 ans
Grandeurs et négritudes militaires
– Note écrite à 19 ans
« Le retour des choses… »
– Note écrite à 19 ans
Le vertige montré…
– Note écrite à 19 ans
Réécrire « Elly »
Base : l’envoi dans l’espace-temps se fait par effort collectif (comme pour le renvoi hors de la pierre). À ce moment-là, c’est logique et beaucoup plus compréhensible. (La communauté se trouve rassemblée sur un espace découvert – groupe d’hommes → Le voyageur disparaît) (On peut placer le voyageur sur une sorte de véhicule qui disparaîtrait avec lui.
Quant à la pierre, elle prendrait la forme du véhicule et de son occupant (ce pourrait être aussi une monture – un cheval ?)
Une large avenue bordée de bâtiments (en ruines ?) sur laquelle s’ouvrent des rues transversales. Cette avenue est déserte, les bâtiments s’arrêtent, c’est la lisière de la cité, passés ces extrêmes faubourgs, il n’y a plus que le désert, que traverse seulement cette avenue aux dalles de pierre jusqu’à l’horizon. Soleil – blancheur. Cette avenue part du centre de la ville. En ce point se dresse une sorte d’amphithéâtre de quatre mille places, dont les gradins de pierre regardent vers l’avenue.
(Comment s’appelle cette avenue ?)
L’amphithéâtre se remplit : ses occupants sont vêtus de vêtements spéciaux avec un insigne (étoile ?) Ils ont la peau de couleur noire.
Finalement, l’amphithéâtre est plein. Tout cela s’est fait dans le silence. Dans le silence, les quatre mille noirs fixent de leurs regards le même point.
(Avant cela : transes – negro spirituals – jazz) sur l’amphi.
Ils fixent le même point : l’intersection de la venue et de la troisième rue perpendiculaire. Silence. Regards intenses. Immobilité cadavérique. Ciel bleu.
De la gauche, par la troisième rue transversale, débouche un cavalier en armure, sur un cheval blanc ; il est noir lui aussi. Il traverse lentement, au pas, l’avenue (large de 30 m). Lorsqu’il atteint le centre, le point précis d’intersection, un éclair formidable éclate, sa lueur blanche se reflète dans les yeux des quatre mille qui sont comme soufflés par la détonation. Lorsqu’ils se relèvent, pêle-mêle, le cavalier a disparu. Ils viennent de le projeter dans l’espace-temps. Leurs yeux sont normaux…
Dans les légendes de certains groupes de noirs : apparition d’un cavalier monté sur un cheval blanc.
– Note écrite à 19 ans
Bachelard (« Psychanalyse du feu »)
« Balzac a noté dans Gobseck que les « froids intérieurs » des vieilles filles étaient parmi les plus luisants ».
« On n’aime pas autrement les pierres que les femmes… » (Cf.
1/ « Désert rouge » Rochers sur la plage dans la scène de la petite fille 2/ Le voyageur enfermé dans la pierre
(Commentaire : in ma nouvelle inaboutie « Elly autour de la pierre »).
– Note écrite à 19 ans
– Vous la coiffez ?
– Si la sémantique ne venait pas s’en mêler, je dirais oui.
– Note écrite à 19 ans
Commentaire du 29 décembre 2011 :
Ce dialogue imaginaire faisait suite à la question (réelle) que m’avait posée mon ancien professeur de lettres du Lycée Paul Langevin, à Suresnes, en 1962, que j’étais retourné voir, car je l’estimais, et avec qui je m’étais entretenu de mes relations amoureuses difficiles avec Jocelyne.
– Commentaire écrit à 65 ans
Le juste geste… (inclus dans Manuscrit « L’homme que les plantes aimaient »)
– Note écrite à 19 ans
« Que cette marge d’imperfection est la rançon la plus éclatante de la gloire et du talent… »
– Note écrite à 19 ans
La mort ne doit pas être un obstacle aux forces du rêve… (inclus dans Manuscrit « L’homme que les plantes aimaient »)
– Note écrite à 19 ans
Il y avait Jean Tralosto, le type qui était toujours malade, etc. (2014 : from Internet : pas fait)
– Note écrite à 19 ans
(14h25 Lorient. Cours de la Bove. Café « Le théâtre », celui où j’ai dit à Jocelyne « J’ai envie de faire l’amour avec toi… » et où elle a disparu dans les toilettes…)
(Je suis assis à peu près dans le coin où nous étions, bien que la décoration du café ait changé, mais l’implantation du lieu reste apparemment la même).
J’ai filmé ce café, à l’extérieur.
Pourquoi est-ce que je fais ces images ?
Je ne sais pas. Peut-être pour Agnès. Pour qu’elle ait une trace du lieu où ses parents ont décidé de s’unir sexuellement, ce qui devait par la suite lui donner naissance…
Par ailleurs, ici, j’attends l’heure de la vedette pour aller à Gavres…
– Note écrite à 40 ans