À la télé, en direct : deux scènes très éloignées rapprochées (chacune une moitié de l’écran)
– Note écrite à 19 ans
Télévision
À la télé, en direct : deux scènes très éloignées rapprochées (chacune une moitié de l’écran)
– Note écrite à 19 ans
Radio Télévision. Radio en direct : insuffisant. Il faut passer au pouvoir de l’image. Télé en direct = radio en direct plus image (appoint et non centre, bien senti actuellement par l’ORTF mais mal fait)
Ceci dans le sens que quand j’allume la radio, je trafique une boîte, de l’électricité (cf. projet plus haut) et la réalité est décalée : il me faut l’image pour donner un poids à ce que j’entends mais pas le poids de la réalité : télévision = image non envahissante restant confinée au petit écran. Le son au contraire envahit la pièce, bouge dans l’espace. Si bien que le côté radio de la télé est plus vivant que le côté image.
Ce côté vivant manque à la radio mais il est donné dans la télé par l’opposition avec l’image, qui reste limitée. Cela crée un juste équilibre : si l’image était envahissante (tout un mur par exemple) → cela créerait une fascination trop grande, une trop grande illusion.si l’image était au même niveau de pauvreté que le son (photos) → effet aussi limité (mais pas inefficace) que la radio.
– Note écrite à 19 ans
Cette nuit : crise avec Mathilde.
(Commencé par discussion au lit, partant du passé de Mathilde avec son mari et arrivant à Agnès et Mathilde disant qu’elle n’était pas contente qu’elle se soit « mêlée de ses affaires » → colère.
Violence. Dormi dans le canapé. Re-crise ce matin avant qu’elle parte + elle m’appelle : « J’en ai marre de ces crises » → re-colère.
Mauvaise journée.
Culpabilité.
Abattu.
Rencontré Jean-Claude Salou du « Jour du seigneur ».
Rien avant juillet ou septembre…
Pas pu joindre Horbette.