Archives de catégorie : Réalisation Court métrage « Une seconde jeunesse »

Film CM Une seconde jeunesse

VÉCU – CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

Mouv. Caméra
Caméra subjective
Mouv (+ mus.) qui se poursuit sur plan du personnage qui bougeait

1966.04.21

La fille, assise devant la glace, se retourne et regarde le gars par-dessus son épaule.


Jambes sortant de la robe.


Attitude devant le spectre : refus et mépris (se retranche auprès des animaux, les plaint, les caresse « Qu’est-ce qu’on vous a fait ? », s’en entoure (aux fenêtres)

– Note écrite à 19 ans

VÉCU – CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

Générique (sur fond de sous-bois ? ou plans de la maison (alternance des sous-bois et de maison (travellings)
Travelling latéral (ou ascendant) qui découvre la maison avec les rideaux noirs sur la porte. L’homme est à la porte (peut-être plan rapproché pour mieux voir l’homme. Il rentre (tout de suite).
Il rentre.
– GP photo
– GP homme.
Dialogue off.
Pour faire le raccord avec les scènes du passé. Il détourne la tête vers un côté, en la relevant, comme s’il regardait :
GP la vieille
PM la vieille (raccord mouvement – 2 caméras)


Dead music


Plans de la Lune

– Note écrite à 19 ans

VÉCU – CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

Lorsque vieille sort animaux du coffre : elle pose le pigeon parmi les autres. Elle se rebaisse, fouille. Se relève : le pigeon est sur ses pattes et la regarde (MP)

Ici à faire un GP (tête du pigeon)

– Note écrite à 19 ans

VÉCU – CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

Morte dans l’escalier
Visage éclairé

1966.04.28
Interdictions de la vieille. Il outrepasse.


Le vieux accomplit des travaux malgré lui.


Zoom possible
Travelling et reflet sur vitre


Champs contrechamps
Plongée contre-plongée


Plans fixes objectifs à passage au subjectif par mouvement de caméra


Personnage éclairé par un faisceau (lampes)


Pano ou travelling au 75


Personnage qui entre dans une zone lumineuse

1966.04.28_2

Personnage qui entre ombre sur porte

Caméra subjective
Mouvements qui attendent le personnage


Rainure sous la porte


Rire avec écho
Rire dément
Vieille = travelling sur les objets

1966.05.28_3

Pyjama ou combinaison pour le spectre


Nuages passant sur la maison à toute vitesse


Costumes de velours
Vêtements noirs


Musique de flûte
Ainsi = mélancolie tragique


Spectre qui essaie d’entrer sans y arriver (porte qui craque)


Poignée qui tourne – plan moyen face à la porte très bref (mouv amorcé)


Changement de réglage de distance


Yeux de la morte qui regardent la caméra tête renversée


Voiles à petits carreaux rouges et blancs (cuisine)


Vieux qui s’installe une table au soleil devant la maison


Vieux : GP de profil


Vision du spectre = travelling
Travelling sur elle = narcissisme + (miroirs)

– Note écrite à 19 ans

VÉCU – CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

« J’aimais le soir dont la fraîcheur me permettait ce dont j’étais incapable à la chaleur des journées » ← travellings sous-bois →
1/ maison. Deuil
2/ travelling avant : le vieux. Remord
3/ Gros plan la photo
4/ Gros plan vieux (profil). Il relève la tête (?)
5/ —————————————————-
Cuisine. Le chien entre. Elle le chasse. Il le « console ». Il s’en va seul. Il trouve le pigeon.


« Tout a commencé par des champignons qu’elle me demanda d’aller chercher. Nous vivions dans un monde clos, du produit de nos cueillettes et d’une maigre retraite de…

– Note écrite à 19 ans

CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

Ce matin (en me lavant), j’ai eu l’idée de modifier le scénario fantastique (vieillards – oiseaux – résurrection) dans le sens d’une simplification et d’une « érotisation » plus poussée :
Remplacer le couple de vieux par un couple de jeunes gens nouvellement mariés (on retombe alors sur la scène de la nuit de noces).
– Les placer dans le milieu d’une noblesse plus ou moins dédorée (inaction – décadence -tares familiales), ce qui conduit à faire du mari un malade mental, carrément. Quant à la femme, il n’y aurait pas de rajeunissement du cadavre, mais simplement apparition du spectre semblable au cadavre.
– On pourrait même aller jusqu’à concevoir que le mariage (qui arrange financièrement les parents du mari, parce qu’ils sont nobles, mais sans argent, et les parents de la fille parce qu’ils sont riches, mais bourgeois), on peut concevoir que ce mariage est une machination du malade qui, paraissant faire le jeu de ses parents, mène l’affaire d’un bout à l’autre. En effet, sa passion serait l’empaillement et la collection des animaux et il ne désirerait avoir une femme que pour la joindre à sa collection… Jouer de l’ambiguïté de la situation d’une part : calcul des parents, d’autre part : machination du jeune homme. Mais il se peut qu’il profite de l’occasion et que l’idée ne lui vienne qu’après son mariage (les apparitions d’animaux ne seraient peut-être pas préparées – jouer sur cette ambiguïté) il découvre après le mariage qu’elle ne peut souffrir les animaux. Il en conçoit du dépit. Il ne l’avait pas su avant car il cachait sa passion et il avait peur d’éloigner la jeune fille. Si bien qu’il se servira des animaux pour la tuer, par haine, parce qu’elle ne les aime pas comme lui. Si elle les avait aimés, peut-être serait-ce différent, peut-être ne la tuerait-il pas. IMPORTANT : cinématographique – intercaler avant qu’elle apprenne sa passion, une scène où elle caresse un animal sans aucune crainte (animal très différent des siens – petit chat ? – Ce n’est qu’après une grande frayeur (apparition) qu’elle aura peur des bêtes.
(Voir les références psychanalytiques – refoulement – obsession)
Serait-il impossible pour préparer le tournage, d’écrire une nouvelle sur ce thème, en ayant présent à l’esprit la transposition au cinéma.

Note écrite à 19 ans

CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

(Scénario fantastique nouvelle manière) Bourgeoise riche avec noble fauché. Un jeune couple. Lui collectionne les animaux (notamment empaillés) → elle en conçoit une vive frayeur des animaux. Le couple, vieux. Un soir, le vieux découvre une chauve souris. Il l’enferme dans une pièce.  » Avant le lever du soleil « , le lendemain matin, la femme y pénètre. Elle est épouvantée. Elle meurt. On l’enterre. Le soir des funérailles, pris de remords, le vieux déterre le cercueil et le ramène au château où il la garde au milieu des animaux empaillés. Lorsque la nuit tombe, la chauve souris réapparaît, accompagnée d’une autre. Elles attaquent le vieil homme. Celui ci s’aperçoit qu’il a affaire à deux vampires. Il en détruit un mais l’autre s’enfuit, s’envolant dans la nuit. La nuit suivante, il se poste et surveille le cercueil. Sa femme en sort, rajeunie jusqu’à l’âge de leur mariage. Elle se transforme en chauve souris et s’envole par la fenêtre. Lorsque le jour revient, le vieil homme sait que le vampire doit être dans son cercueil. Muni d’un pieu, il s’apprête à l’enfoncer dans le cœur du cadavre mais il y renonce. Il laisse retomber le couvercle. Il attend. Lorsque vient la nuit, le couvercle se soulève, la jeune femme vampire sort. Un peu plus tard, dans la nuit, deux chauve souris s’envolent côte à côte.

– Note écrite à 19 ans

CINÉMA – COURT MÉTRAGE « UNE SECONDE JEUNESSE »

Je viens de relire les notes prises sur ce carnet que j’avais délaissé depuis longtemps :

Modifications possibles du projet sur les « vieux » –> prendre le couple dans sa jeunesse (*) (la femme ne rajeunirait pas en devenant vampire mais serait jeune au moment où elle est vampirisée

(*: En fait je l’ai déjà noté (voir carnet 6)