« Ami, je t’offre un pot ; vide cette canette.
Laisse-moi de parler d’une douce nénette,
Qu’un soir j’ai rencontrée, au bal, un bal paumé,
Un d’ces guinches de cambrousse que jamais j’oublierai… »
– (en souvenir d’Annick, la seule « merveille » à laquelle j’aie eu droit depuis mon enfance)
– Note écrite à 17 ans