Lire Charles Lapicque : « Essai sur l’espace, l’art et la destinée »
– Note écrite à 16 ans
Lire Charles Lapicque : « Essai sur l’espace, l’art et la destinée »
– Note écrite à 16 ans
Idée de texte irrévérencieux : dans une exposition de peinture consacrée à un grand maître très sérieux, vernissage, cocktail, petits fours, ronds de jambe, une femme obsédée sexuelle, ou quelque chose comme ça, voulant acquérir la puissance masculine perce une toile représentant quelque chose de très sérieux en un endroit irrévérencieux…
– Note écrite à 19 ans
Au départ le public était fasciné par l’art. Il croyait à la réalité de ce qu’on lui montrait (cf. Bazin) maintenant, l’art en équilibre instable. À la fois : illusion et franchise. L’évolution (qui serait un retour) vers un art plus solide, plus « traditionnel » (attention à ce mot), un art classique, ne réclame-t-elle pas un retour à l’illusion pure… ? (Cf. idée de l’image porte qui frappe les gens…) ? ?
Chercher à savoir où est l’art moderne (Pinter. La collection. Décors multiples ?) Comment fonctionne la dialectique ?
– Note écrite à 19 ans
Le créateur qui ne pas besoin de s’exprimer en dehors de sa création : satisfaction réelle ou refuge ?
– Note écrite à 19 ans
Pour l’instant elle se découvre elle-même à travers moi par la création commune. Mais quand elle se sera trouvée, n’aura-t-elle pas envie de créer seule de son côté ?
– Note écrite à 19 ans
Fonction magique de l’auteur d’une œuvre. Le public est perdu, ne connaît pas la signification de l’œuvre. L’auteur de la connaît pas non plus mais c’est, au monde, l’être qui s’en approche le plus → il est investi d’un pouvoir magique auprès du public qui croit rencontrer un mage en le rencontrant…
– Note écrite à 19 ans
Les couleurs sont des personnages. Elles sont indépendantes. Elles nous échappent… (pour moi)
– Note écrite à 19 ans
Art = vertige montré
– Note écrite à 19 ans