Il commence à faire bon sur la Seine. Il y a des couples qui s’embrassent, et des chansons lancées comme des défis. Je reviens à la Seine. Il y a des groupes de jeunes gens, des excentriques déguisés, des pédérastes. Il y a des gens qui s’ennuient, qui traînent leur solitude. Moi, je suis encore comme ça. Mais bientôt tu viendras me rejoindre.
– Note écrite à 19 ans
Preuve qu’on employait encore un mot comme « pédéraste ». Fini, aujourd’hui.
Exact. Sauf, tout de même, sous sa forme vulgaire (et dépréciative) de « pédés »