Il y a de l’enfant en moi, dans mes rapports avec les femmes. Elles savent d’ailleurs me le dire pour me faire mal, oubliant alors qu’elles ont aussi aimé cet enfant en moi… Il y a de l’enfant naïf, confiant, aveugle, enthousiaste… Je n’écris pas cela avec amertume. Cet enfant, au lieu de chercher à l’étouffer, il me faut l’aimer, le comprendre, l’aider à grandir et à devenir moi. J’ai déjà écrit cela, à peu près, dans les dialogues du » Premier livre… » Mais je parlais de l’écouter, cet enfant, seulement de l’écouter. Alors qu’un enfant ne peut pas toujours parler, dire… (comme disait Agnès : » Krystelle ne peut pas vous dire ce qu’elle ressent… « ) Cet enfant en moi, il faut l’aimer pour le comprendre. Entre » Le premier livre » et maintenant, il m’aura fallu un an pour comprendre cela…
– Note écrite à 35 ans