VÉCU – AGNÈS

Je suis furieux et désolé : je croyais que les poèmes d’Agnès étaient tombés derrière la commode. On l’a déplacée. Ils n’y sont pas ! J’ai cherché partout, je les trouve pas. Quel con j’ai été de ne pas les planquer ! Je voulais aussi que cette chambre reste la sienne, par des choses d’elle accrochées au mur…
Je suis triste !

– Note écrite à 40 ans